Jean-Bernard Chardel est un Artiste-plasticien, illustrateur, engagé dans le domaine social et humanitaire. Il a illustré les paroles du Chef Seattle, "Notre Mère la Terre" (paru aux éditions Owen Publishing). 

 

Il expose régulièrement en France, à l'étranger, notamment au Japon où son travail est particulièrement apprécié. 

 

Jean-Bernard Chardel est né en 1964 à Antony. Après avoir suivi une formation dans le domaine social, il a successivement fréquenté les ateliers des Beaux-Arts, l'Ecole d'Arts Appliqués Duperré, les cours de croquis de l'ADAC (ancien élève de Frédéric Mathieu).

 

Son intérêt pour les questions d'ordre existentiel, sa quête de sens, l'ont amené à s'intéresser à des domaines divers tels que la littérature, la philosophie, l'anthropologie et la théologie.

 

Certains auteurs tels que Hermann Hesse, Oscar Wilde, Arthur Rimbaud, Frédéric Nietzsche, de même que la découverte des "philosophes des Lumières" ont eu une influence déterminante dans sa vie.

 

Sa rencontre avec une réfugiée Cambodgienne (rescapée du génocide) l'a incité à devenir membre actif de différentes ONG, telles que Enfants Réfugiés du Monde, ICRA (International Commission for the Right of Aboriginal people).

Par la suite, il a organisé divers évènements pour de nombreuses causes à caractère solidaire ou humanitaire.

 

Dans ses travaux, sont représentées des figures géométriques simples, souvent associées à la   peinture ; cercles, carrés n'apparaissent pas uniquement comme des recherches d'effets, mais expriment son engouement pour les symboles mystiques…

 

Ces figures engagent le spectateur en le détournant de ses préoccupations quotidiennes, l'entrainant vers le domaine de l'esprit, de la spiritualité, provoquant une sensation d'apaisement et de sérénité.

 

Parfois des photographies apparaissent. Le peintre se fait alors "agitateur de mémoire". Les photographies collées, et les fragments d'objets érodés deviennent des témoins d'existence, des totems à la mémoire de peuples et de minorités oubliées, déchirées ou anéanties sous le poids des sociétés dominantes.

Des peuples, tels que les Amérindiens, dont la cosmologie est bien souvent extrêmement riche, et qui auraient selon lui bien des choses à nous apprendre concernant le domaine du "savoir vivre", du respect de la nature, de l'éthique, sur le vrai sens du mot "civilisé", et les authentiques richesses de la vie…

 

 

Contact : jbchardel@hotmail.com